Landpacht - Ontbinding van de overeenkomst wegens gemis aan enige exploitatie door de pachters - Berekening van de schade wegens onbeschikbaarheid van de betrokken percelen bestemd voor verkoop. / Bail à ferme - Résiliation du bail par manque d'une quelconque exploitation par les preneurs - Calcul du dommage suite à l'indisponibilité des parcelles litigieuses destinées à la vente.

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Landpacht - Ontbinding van de overeenkomst wegens gemis aan enige exploitatie door de pachters - Berekening van de schade wegens onbeschikbaarheid van de betrokken percelen bestemd voor verkoop. / Bail à ferme - Résiliation du bail par manque d'une quelconque exploitation par les preneurs - Calcul du dommage suite à l'indisponibilité des parcelles litigieuses destinées à la vente.

Année 2014 Volume 2014 Numéro 1 Page 42 Langue Néerlandais Juridiction Gent, Rechtbank van Eerste Aanleg - Tribunal de Première Instance, 27/09/2013 Référence “Landpacht - Ontbinding van de overeenkomst wegens gemis aan enige exploitatie door de pachters - Berekening van de schade wegens onbeschikbaarheid van de betrokken percelen bestemd voor verkoop. / Bail à ferme - Résiliation du bail par manque d'une quelconque exploitation par les preneurs - Calcul du dommage suite à l'indisponibilité des parcelles litigieuses destinées à la vente.”, T. Agr. R. / Rev. Dr. rur. 2014, nr. 1, 42-56 Résumé Na pachtontbinding opteren de verpachters voor de verkoop van het goed. Door het niet verlaten van de gronden wisten de pachters welke schade zij mogelijks veroorzaakten. Deze schade bestaande uit de tijdelijke derving van de verkoopprijs volgt uit de beslissing tot pachtontbinding en is gekoppeld aan het ogenblik van ontbinding en de beslissing tot uitdrijving. Een rente van 1,7 % op jaarbasis wordt aanvaardbaar geacht als derving van de koopsom die niet eerder kon geïncasseerd en belegd worden. *** *** *** Après résiliation du bail les bailleurs optent pour la vente du bien. Suite au refus de déguerpir les biens, les preneurs étaient conscients du dommage qu'ils occasionneraient éventuellement. Ce dommage consiste dans le manque de disposer temporairement du prix de vente suite à la résiliation du bail et est lié au moment de la résiliation et à la décision d'expulsion. Une rente annuelle de 1,7 % est considérée comme acceptable comme manque de disposer du prix de vente qui ne pouvait être encaissé et investi plus tôt.

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